Angrey Francis Unimna, 2013, La mort ou la migration sans retour ? Une lecture thanatico-psychologique des romans de Maryse Conde, Neohelicon 40 : 655‒664. Condè Maryse, [1986] 2019, Moi Tituba sorcière…Noire de Salem, Paris : Gallimard. Glissant Édouard, [1990] 2020, Poétique de la Relation, Paris : Gallimard. Glissant Édouard, 1997, Traité du tout-monde : poétique IV, Paris : Gallimard. Labourey Marion, 2017, La confrontation des romans magico-réalistes caribéens avec le réalisme des canons littéraires occidentaux : vers l’élaboration d’un autre réalisme ?, Revue de littérature comparée 364 : 444‒458. Lamiot Christophe, 1996, Poétique de Maryse Condé : l’écriture comme politique, (in :) L’oeuvre de Maryse Condé. Questions et réponses à propos d’une écrivaine politiquement incorrecte : Actes du Colloque, 14‒18 Mars 1995, Paris : L’Harmattan, 77‒90. Larcher Laurent, 14.09.2019, « Maryse Condé, écrire et ne rien céder. Entretien », LaCroix, disponible sur : https://www.la-croix.com/Culture/Maryse-Conde-ecrire-rien-ceder-2019-09-14-1201047474 (consulté le 9.09.2021). Le Glaunec Jean-Pierre, 2017, Résister à l’esclavage dans l’Atlantique français : aperçu historiographique, hypothèses et pistes de recherche, Revue d’histoire de l’Amérique française 71 : 13‒33. Pagàn Lopez Antonia, 2012, La mort et l’au-delà dans La Migration des coeurs de Maryse Condé, Anales de Filología Francesa 20 : 207‒220. Perret Delphine, 1995, Dialogue with the Ancestors , Callaloo, Maryse Condé : A Special Issue, 18 :  652‒667. Rosello Mireille, 1992, Littérature et identité créole aux Antilles, Paris : Karthala. Thomas Louis-Vincent, [1978] 2010, Mort et pouvoir, Paris : Payot.